• Il est nécessaire que je donne quelques explications au titre de mes rubriques :

     

    • Les poésies d’un jour et du hasard : De temps à autres, j’ouvre mon dictionnaire, je pointe mon index sur une page et me fais le pari d’écrire une petite poésie à partir du mot que le hasard a bien voulu désigné sous mon doigt. Pour moi, cela devient un jeu, ajoute à la difficulté,  tout en m’évitant d’avoir à trouver un sujet qui risque d’être inintéressant et ennuyeux. C’est ainsi que sont nés de mon imagination les trois premiers poèmes de ce blog : le mobile, les cèdres et enfin les thermes que j’ai intitulé les thermes romains. Toutes les autres poésies de cette rubrique auront cette même origine fortuite. La récitation du mois sera basée sur le même principe.
    • Les poèmes vrais et amusants : Là, il s’agit d’histoires vécues et qui ont marqué mon imagination ou mes souvenirs. Très souvent, bien sûr, je vais dériver de cette réalité vers de la fantaisie, de la pure invention pour rendre ces instants d’une vie plus attrayants et plus amusants.

     

    D’autres rubriques suivrons : poèmes tristes, poèmes de voyages et de randonnées, poèmes familiaux, nouvelles, etc.…

    Chaque thème aura sa rubrique.


  • Une craquade est un petit mensonge sans gravité et sans importance. Cette expression provient bien sûr du mot « craque » qui signifie mensonge mais au sens de vantardise dite par un hâbleur, un fanfaron. Pour moi, et en tous cas dans ce blog, mes craquades seront des poèmes ou bien plus simplement de petits textes de ma pure invention qui viennent à mon esprit et de mon imagination selon mon humeur du moment parfois par amusement parfois par tristesse selon les circonstances.

    A l'école, j'ai toujours aimé ce qu'on appelait, de mon temps, les récitations. Le plus souvent, ils s'agissaient de courtes poésies d'auteurs qui malheureusement ne sont pas restés dans les mémoires. Parmi eux et sans les citer tous, il y avait Maurice Carême, Robert Desnos, Paul Fort, Francis Carco et un qui revenait souvent c'était Anonyme. J'ai longtemps cru qu'il s'agissait d'un poéte "grec" jusqu'au jour où ma mère m'a finalement expliqué !

    J'aimais bien les rimes et ces intonations que les instituteurs nous obligeaient à prononcer d'une certaine manière. C'était une jolie musique et cette musique, je crois que je l'ai toujours gardé dans ma tête.

    Dans les classes secondaires, j'ai ensuite été séduit par les textes des grands noms de la poésie et même si très souvent, je n'arrivais pas à retenir tous ces longs poèmes que les profs tentaient de nous faire apprendre "par coeur"; Hugo, Rimbaud, Verlaine, Baudelaire, Ronsard, La Fontaine, etc... sont restés dans ma tête comme des "créateurs de bonheur".


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